Coucou mes petits filous, après deux semaines sans récits, vilaine que je suis, je vais vous raconter ce soir une histoire très coquine dans un hôtel…….Vous savez que j’aime l’imprévu mais vous aussi non ? Si oui, vous n’allez pas être déçus ;).
Vous qui affirmez si bien me connaître, pensez-vous que je suis capable de ce que je vais vous raconter dans cet hôtel ? Ça sera mon petit jeu de ce soir, alors oui ou non ? J’attends vos réponses en commentaires ou sur mes réseaux sociaux ;).
Un hôtel, mes collègues, moi et…..lui !
Vous qui me suivez depuis des années savez que je suis commerciale (d’ailleurs vous pouvez avoir toutes les infos sur moi ici) et donc tout le temps sur la route. Ça implique que je suis dans un hôtel toute la semaine le plus souvent. Je vous ai d’ailleurs souvent raconté mes anecdotes sexy, ici sur mon blog ou dans mes newsletters.
Ce soir-là, je suis comme tous les soirs au bar d’un hôtel, là où je passe la semaine, c’est-à-dire, ici, là ou ailleurs, près de chez vous peut-être qui sait…Je suis avec mes collègues et comme souvent, pour ne pas dire tous les soirs, nous buvons un verre ensemble avant d’aller nous coucher.
Nous parlons de notre journée, de cul bien sûr ;), nous rigolons surtout, bref on nous remarque. Il faut dire que 5 nanas en tailleur et talons aiguilles, ça ne passe pas inaperçu. Alors que l’une de mes collègues sort une connerie qui nous fait rire, une autre voit cet homme rire à cette blague qu’il a entendu sans vraiment écouter.
Ma collègue me fait signe et je me retourne. Je le vois sourire, un sourire pfiou, vous savez que ça et un regard peut vite me faire partir en vrille. Je le regarde sans me cacher. Je suis comme ça. Il est grand, barbu, une carrure imposante, bref si je n’ai pas de type d’hommes particulier, je me dis que pour une fois, il peut être ce type d’hommes qui m’attire.
Mes collègues sont comme moi, pas vraiment timides, pas froids aux yeux et limite plus coquines que moi. L’une d’entre elles, la blonde de la bande, approche cet homme et lui dit « Quitte à rire à nos blagues, joins-toi à nous puisque tu es tout seul ».
Il hésite, il n’a pas l’habitude apparemment de se faire approcher comme ça par la bombasse qu’est ma collègue. Mais après tout pourquoi pas. Il se présente, boit un café, a un peu de mal à entrer dans la conversation (mais dès que je le regarde, c’est en moi que j’ai envie qu’il rentre…..ok je sors 😉), mais ça se passe.
Bien sûr, on lui pose une tonne de questions. Son job, son âge, sa situation familiale (il est célib ouf, même si ça, ça ne m’a pas toujours arrêté), combien de temps il est là, bref mes collègues ne le lâchent pas le pauvre. Moi je ne parle pas trop, je le mâte ;).
La blonde, toujours elle, lui dit « Ah tu es célibataire, ça tombe bien Lily aussi » en me montrant. Il me sourit, je lui souris, il semble gêné par le franc parlé de ma collègue. Bref on passe une heure à parler tous ensemble, il se détend, sourit, est drôle, aie aie aie je suis sous le charme.
Un petit texto sur le groupe WhatsApp que j’ai avec mes collègues pour qu’elles dégagent et aillent se coucher lol et je me retrouve seule avec lui. Et là, en mode Lily, coquine un jour, coquine toujours.
Il était l’inconnu de cet hôtel…..on va devenir très proches 😉
Je suis assise sur un haut tabouret de bar. Lui est debout. Il est grand donc ça fait que l’on est à la même hauteur. Et ça tombe bien parce que j’ai enclenché le mode « Toi, je te veux ». Comment je fais ? Comme toutes les nanas je crois ;).
Je souris, je passe ma main dans mes longs cheveux, je prends des poses qui m’avantagent (ben tiens, tant qu’à faire…), je croise mes jambes, je prends une voix sexy quand je lui parle. Je vois qu’il est déstabilisé, qu’il n’a pas l’habitude de se faire draguer comme ça, qu’il s’imagine des trucs mais pour le coup, il est un poil timide. Pas grave, moi je ne le suis pas ;).
Bon en revanche, ça traîne un peu. Donc je me lance un « Tu sais quoi ? », il me répond non alors je lui réponds « Tu me plais et je n’ai pas envie de dormir seule ce soir, voire de pas dormir du tout…. ».
Je vois sa surprise. Il ne doit pas être habitué à ce qu’une nana lui parle comme ça. En fait je ne sais pas mais c’est ce que je pense en tout cas. Je m’approche de lui et là (enfin), il se décoince et approche son visage de moi. Il met sa main sur ma joue et m’embrasse. Délicatement. Mais moi je ne veux pas du délicat là. Donc ma langue dans sa bouche lui fait comprendre que j’ai envie de plus et plus vite.
Quand il arrête de m’embrasser, je lui dis « Ma chambre ou la tienne ? ». Il me répond peu importe. Alors je lui dis « Hm la tienne, car mes collègues sont à côté de la mienne et je pense qu’on va faire du bruit… ». Je sens que cette phrase l’excite d’un coup car il me prend la main et direction l’ascenseur…..
Si cette chambre d’hôtel pouvait parler…..
Dans l’ascenseur, il me roule une pelle d’enfer en posant sa main sur l’un de mes gros seins. Les portes s’ouvrent, je le suis. Il ouvre la porte de sa chambre avec sa carte et me laisse passer en premier. Il entre et là, ça va être une nuit de sexe torride, croyez-moi.
A peine la porte refermée, il m’embrasse comme un chien à nouveau, passe ses mains sous ma jupe, caresse mes fesses sous mon shorty. Je suis super excitée, il m’excite un truc de fou déjà en ayant pas fait grand-chose.
J’enlève son polo pendant qu’il descend la fermeture éclair de ma jupe. Il enlève mon chemisier, il l’arrache presque. Il dégrafe mon soutien-gorge et pousse un gémissement en voyant mes seins. Il les effleure mais je ne lui laisse pas le temps d’en faire plus car j’ai envie d’une chose là, le sucer (vous savez vous que j’aime ça, je vous en ai parlé ici ;)).
Je me mets à genoux devant lui. Je sens encore qu’il est déstabilisé par autant d’audace mais justement, ça m’excite qu’il n’y attende pas. Je déboutonne son jean qui tombe à ses pieds, je descends son boxer et je prends sa bite entre mes mains…
Je le branle, je le lèche, je le suce comme je sais si bien le faire. A ses gémissements, je comprends qu’il aime ça. Mais je veux aussi qu’il me prenne, je veux aussi jouir, je veux aussi être à sa merci, je veux qu’il ose…………et il va oser…
Je me relève, il me pousse sur le lit. Il m’enlève mon shorty. Je le regarde pendant qu’il met un préservatif. Il me plait, m’excite, me rend folle de désir. Il se met enfin sur moi. Il m’embrasse, joue avec sa langue dans ma bouche, effleure mon cou, mes seins, mes tétons et enfin, il entre en moi.
Je bascule ma tête en arrière quand je le sens, quand je sens son mouvement de va-et-vient. Je gémis, il gémit. Il m’embrasse encore et encore, joue avec sa langue sur mes seins. C’est bon et je le lui dis.
Puis il me demande de me mettre à 4 pattes. Cool, ma position préférée mais ça aussi vous le savez. Je suis donc en positon pour une levrette que j’espère très jouissive. Et ça va être le cas.
A 4 pattes, mon p’tit cul en arrière, mes seins dans le vide, mes longs cheveux sur mon dos, il me prend à nouveau. Mais plus brusquement. En mode plus bestial comme j’aime. Je gémis, je crie, lui aussi gémit.
J’aime entendre ses hanches qui tapent mes fesses, j’aime sentir sa bite qui entre et sort de ma chatte. J’aime tout simplement qu’il me prenne car il le fait bien si vous voyez ce que je veux dire.
Il ne faudra pas longtemps pour que mon vagin se contracte, pour que mon corps se raidissent, pour que je sente cette excitation montée jusqu’à qu’un orgasme de feu traverse mon corps tout entier, me faisant crier et gémir. Quelques secondes plus tard seulement, il jouit à son tour et vu ce qu’il dit et comment il gémit, je crois qu’il a bien pris son pied aussi…
J’avais dit que je ne dormirai pas cette nuit-là non ?
Nous nous sommes allongés ensuite, l’un à côté de l’autre, afin de descendre un peu. Puis, chose assez rare quand on me connaît un peu, je suis restée là à discuter avec lui. Je n’avais pas envie d’aller dans ma chambre….
Au bout d’un certain temps (je ne saurai pas vous dire), alors que nous sommes allongés l’un face à l’autre, je l’embrasse, plus délicatement, plus sensuellement. J’ai envie de l’exciter tout en douceur.
On se caresse, ma jambe par-dessus ses hanches, ses mains qui effleurent mon dos, mes fesses, mes seins et qui glissent entre mes jambes…Hum je gémis…..
Puis je décide de mener un peu le jeu. Je me mets donc à califourchon sur lui….J’ai envie de jouer un peu, de l’exciter, donc je caresse simplement sa bite avec ma chatte, je joue avec mes mains sur mes seins, mon doigt dans ma bouche puis c’est moi qui vais lui donner du plaisir cette fois.
Comment ? Hop je ne vais pas tout vous raconter, je vous l’ai dit je suis joueuse ce soir 😉 Ce que je peux vous dire, c’est que j’ai passé la nuit dans sa chambre d’hôtel et qu’au réveil, j’ai encore été très coquine mais ça, je vous le raconterai peut-être dans une nouvelle anecdote………
Alors mes petits filous, comment ça va ? Vous rêvez de me rencontrer dans un hôtel ici, là ou ailleurs ou pas ? Est-ce que vous pensez que je suis vraiment capable de ça ? J’attends vos réponses en commentaires ;).
Lily
Je suis sûr que c’est vrai et totalement possible car tu sais être « hot » quand tu as décidé
Je pense qu’il est authentique, tu en es entièrement capable et surtout les détails son si précis que cela sens le vécu.
En tout cas encore une lecture très agréable et très excitante.
Merci beaucoup
J'ai découvert ton site hier et j'avoue te trouver particulièrement inspirante. N'étant pas très littéraire, je vais tenter de retranscrire du mieux possible ce que tes aventures ont immédiatement provoqué dans mon imagination:
Une journée grise, nuageuse, comme il y en tant dans la capitale. J'ai pour habitude de me dégourdir les jambes dans le parc le plus proche pour ne pas gaspiller mon temps à arpenter les rues étroites et ternes qui cernent mon appartement. Il se trouve que dans mon cas, ce parc est un peu spécial… c'est un cimetière. Il est immense, et à force de m'y promener, je ne fais même plus attention aux noms gravés sur les stèles, au visage des gens qui portent le deuil. Je respire simplement à pleins poumons la chance que j'ai d'être en vie et je laisse mes yeux se perdre dans la canopée bruissante, dans l'espoir de capter un rayon de soleil égaré.
Au détour d'une allée, je distingue une silhouette singulière, à la fois galbée et appétissante. En dépit de ma volonté, mon regard est irrésistiblement attiré par ses contours qui irradient la douceur et la fertilité. Elle se tient là, statique, devant la tombe d'Honoré de Balzac. Après un instant d'hésitation, comme soucieux de préserver le spectacle rare d'un miracle de la nature, je me décide à approcher. Puis, arrivé à quelque pas de cet être qui contraste tant avec l'atmosphère alentour, je ne peux m'empêcher de libérer ces quelques mots: "Vous êtes venue par amour de la littérature ?". A peine la phrase terminée, je ressens un léger frémissement. Elle ne se retourne pas et me rétorque d'une voix espiègle: "Pas du tout, c'est juste un sentiment de déjà vu…". A peine ai-je le temps d'éprouver un soupçon d'intrigue qu'elle disparait derrière la sépulture voisine et s'écrie : "Venez constater par vous-même". Je contourne le monument.
Là, juste devant mes yeux incrédules, surpassant la virtuosité des plus grands sculpteurs grecs, s'érige le spectacle de ses jambes nues, taillées dans la volupté et dressées, de dos, sur de fins talons noirs qui dévoilent subtilement le délice de ses voutes plantaires. Me tenant bien en face de la scène, le temps suspendu à un fil, je lève les yeux pour tenter d'apercevoir son visage. A la place, se tiennent ses deux mains, les doigts ancrés dans la chair de ses fesses, dont l'écartement et la tension, poussés à leur paroxysme, ne me laissent lors pas l'ombre du moindre choix.
En silence, ma bouche se porte à hauteur de son orifice et ma langue se met à dessiner de petits cercles concentriques tout autour de son anus jusqu'à ce qu'elle s'y retrouve plantée. Mes lèvres prennent le relais en embrassant langoureusement la boursouflure, alternant parfois avec de petits coups de langue.
Je continue ainsi, avec application et dévotion, sans plus penser à rien d'autre qu'à cette connexion et au doux son de ses gémissements, jusqu'à ce que ses doigts se portent légèrement plus bas, séparant par la même occasion ses belles lèvres roses et charnues.
N'ayant l'outrecuidance de décliner pareille invitation, mes lèvres se posent sur les siennes pour un langoureux baiser, bien humide et tout en succion. je continue ainsi, tel un essuie-glace en quête de nectar, jusqu'à ce qu'elle se saisisse de l'arrière de mes cheveux, comme pour m'inviter à me relever. Sa robe retombe maladroitement sur ses chevilles. Elle se retourne enfin. Cette fois-ci, c'est à ses yeux électriques, animés d'une intensité insoutenable, qu'il est impossible de se soustraire. Je suis immédiatement emporté par le tourbillon qui m'aspire jusqu'à ses autres lèvres, tout aussi charnues que les précédentes, sans même plus m'étonner de ne les avoir rencontrées plus tôt. Une fois rassasié, cet animal extraordinaire s'empresse de déboutonner le dernier rempart de ma pudeur, pour libérer de l'oppression le centre névralgique de mon excitation. Ne répondant plus de rien, je la laisse prendre le contrôle… complètement absorbé dans l'instant, comme si rien n'avait existé avant, comme s'il n'existait rien autour…
Elle s'adonne à son passe-temps favori… et moi, je suis perdu, étourdi… une seconde de lucidité… quelle insulte… c'est bien plus que ça: elle exerce son art, sa passion et je suis pris dans son tourbillon! L'engagement est total, le talent… virtuose. Mais je n'ai pas le droit d'être ému. D'ailleurs, elle ne m'en laisse pas la moindre occasion. Tout ramène le moindre fragment d'attention à sa sublime stimulation, car elle fait tout, jusque dans son regard provocateur et défiant, pour que j'explose littéralement et sans retenue tout au fond de sa gorge.
Dans une ultime tentative désespérée de préserver un honneur illusoire, j'esquisse un semblant de résistance, pour retarder, encore, de quelques secondes, l'inéluctable.
Me sentant à bout, elle se relève, pivote avec grâce et légèreté, puis applique délicatement ses phalanges sur la paroi lui faisant face. On peut y lire "Concession à perpétuité". Ses yeux, eux, ne portent qu'un seul et un unique message, une invitation à la prendre, vigoureusement et prestement…