Dans mes petites histoires personnelles, je partageais avec vous les confidences de mon amie Jenny, voici la suite de cette soirée mémorable au Portugal, où l’on papotait toutes les quatre, entre copines, de notre première fois par l’arrière…
C’est à moi de prendre la parole :
« Eh bien en ce qui me concerne, la première fois c’était il y a quelques mois, j’étais en Corse pour un stage de plongée. Nous avions passé la journée avec notre petit groupe à explorer les fonds marins des environs, et depuis le début du séjour je dois dire que j’avais quelques vues sur notre charmant moniteur…
Il faut bien dire qu’il avait de nombreux atouts : athlétique, gentleman, particulièrement souriant, et… je le trouvais plutôt très tactile : à la moindre occasion il s’approchait de moi, me frôlait le bras, me regardait avec insistance et je sentais bien, même sous l’eau, son regard s’attardait souvent sur mon petit derrière que j’ondulais volontiers sous ses yeux !
Un soir, après une journée intense, nous étions tous sortis boire des verres dans un petit bar non loin de l’hôtel, tous ensemble.
Vous savez ce que c’est, la musique, l’ambiance, la chaleur…
Nous avons très rapidement commencé à danser ensemble, et j’avoue que je me suis montrée plutôt directe avec lui : alors que sa main s’attardait sur ma taille, me serrant et me tenant fortement contre lui tandis que nous dansions, je lui ai susurré à l’oreille : “Je ne sais pas pourquoi, mais j’ai la sensation que nous nous sentirions peut-être encore un peu plus à l’aise s’il y avait un peu moins de tissu entre nous…” Il a souri et nous avons rigolé, sachant très bien où cette soirée nous mènerait tous les deux !
Je dois bien avouer que, comme je vous le disais, il me faisait beaucoup d’effet depuis la première fois que j’avais plongé avec lui, j’étais donc ravie que nous avancions, doucement mais sûrement dans une direction plus… intime !
Nous avons passé la soirée à flirter, il y avait de l’électricité dans l’air et le désir grimpait de plus en plus, plus haut et plus fort au fur et à mesure que les heures passaient. Nous avons parlé, fait connaissance un peu plus concrètement et puis… assis l’un en face de l’autre au bar, il a fini par approcher ses lèvres des miennes, et nous avons eu un baiser qui, pour un premier baiser entre nous, était particulièrement tendre, doux et… prometteur.
C’était particulièrement agréable parce que cela laissait présager beaucoup de douceur et de légèreté entre nous : de parfaits ingrédients comme vous le savez.
Sa main était posée délicatement sur ma cuisse, et il faisait jouer ses doigts doucement sur ma peau ; puis il a approché sa bouche de mon oreille, qu’il a d’abord délicatement mordillé, avant de me dire d’un ton extrêmement suave ‘Il y a tellement de choses que j’ai envie de te faire…’
Je dois avouer que, compte tenu de l’état dans lequel j’étais, cela équivalait à un doigt sur … le bouton on. Nous avons fini nos verres et nous sommes montés dans ma chambre.
Je me suis rapidement retrouvée toute toute nue : il n’avait que peu d’intérêt pour la petite culotte en dentelles que je portais, et j’ai rapidement compris qu’il portait, en revanche, beaucoup d’intérêt à ce qu’il y avait dessous, et pour mes fesses tout particulièrement.
Honnêtement, ça a été un moment… magique. Je souhaite ce type de première sodomie à toutes les filles qui en ont envie ! Il faut dire que, même si on se connaissait assez peu, il y avait une grande et sincère confiance entre nous, ce qui est indispensable pour que cela se passe au mieux.
Il a d’abord utilisé le petit débardeur que je portais pour me bander les yeux, et m’a guidée jusqu’à mon lit, où il m’a installée, à genoux sur le matelas tandis qu’il se tenait derrière moi. Il m’a doucement basculée vers l’avant, de sorte que mes mains et mes avant bras reposent sur le lit, mon petit cul tendu et offert à ses lèvres.
C’était la toute première fois que des lèvres et une langue s’aventuraient entre mes fesses…
Cela a littéralement changé ma façon d’envisager la sodomie.
Il palpait doucement la chair de mes petites fesses blanches, les écartaient pour glisser doucement sa langue entre elles, venant titiller et glisser doucement sur le début de mon anus. Je sentais mon petit cul se contracter de joie tandis que sa langue, espiègle et aventureuse, jouait avec lui.
Comme il sentait mon envie monter rapidement, il passa doucement trois doigts sur mon clitoris – je découvrais alors combien j’étais déjà mouillée et, glissante de plaisir. Ses doigts m’arrachèrent un cri que j’eu du mal à réfréner, tant la décharge de plaisir fut grandiose, et tant elle me dépassait.
Il glissa ensuite un doigt humide dans mon anus que je sentais se contracter, et tandis qu’il jouait, allant et venant entre l’avant et l’arrière, entre ma petit chatte toute mouillé et mon petit cul serré, je sentais bien que je n’étais qu’à quelques secondes de jouir…
Mais il le sentit aussi, et ralentissant ses mouvement, m’invita à m’allonger doucement sur le ventre…
Je l’entendis déballer un préservatif.
Je sentis alors sa queue dure et pleine frôler le bas de mon dos, et mes fesses ; il massa encore doucement mes fesses, et les écartant doucement, je sentis son énorme sexe remplir, d’une extrême lenteur, millimètre par millimètre, le petit trou que je lui tendais.
Tandis que ses doigts agiles poursuivaient leurs caresses, précises et appuyées, fouillant et massant ma chatte, je sentais une vague de plaisir sur le point de m’emporter. Il glissait de plus en plus profond dans mon petit cul, allait et venait, et titillait mon clitoris gonflé ; au bout de quelques minutes à mordre l’oreiller et à agripper mes draps, j’ai joui comme jamais je n’avais joui. Comblée, dans tous les sens du terme…
Je ne pensais pas, honnêtement, pouvoir prendre un tel plaisir, pouvoir être à ce point retournée de sensation, et submergée par un orgasme aussi… complet. Mais c’est comme tout : avec la bonne personne, de la bonne façon, l’orgasme est au bout du chemin ! »
Source de l’image : doctisssimo !